Spesikal

Analyse  de la chanson Halléluja

Quand on analyse la chanson halléluja on decouvre le poème d’un grand ecrivain avec ses figures de rhétorique et ses interpretations. Ce que vous allez lire ensuite n’est pas une vérité absolue ou toute la information mais une partie de la même. Tel génie fut Lehonard Cohen que de son grand poème il a crée diverses versions de tel faÇon qu’il y a des chanteurs qui ont chanté les chansons avec certaines strophes, des autres chanteurs avec des autres strophes, et même quand on écoute ce que Leonard Cohen a chanté dans quelques concerts on decouvre qu’il y avait des strophes qu’il ne chantait pas. Ce a donné à diverses interpretations d’aprés lesquelles il peut être un poème d’amour, un poème religeux ou tous les deux.  C’est la raison pour laquelle ce que je vais écrire peut être seulement une partie de cettes interpretations, mais cette ne doit pas être l’unique, ne doit pas être la plus correcte non plus.

La chanson commence avec: “j’ai écouté un choeur secret que David joué et agréable au Seigneur, mais ne t’importe pas la musique, n’est ce pas?” La question s’adresse à son aimé ou à toute la audience en général. D’abord le sujet de la chanson semble être David, le roi qui jouait de la harpe pour le Seigneur. David a vu Bethsabée prendre son bain. Bien qu’elle était déjà marriée, il coucha avec elle et fit mourrir son mari à la gerre. La chanson continue avec la description de comment David compose la pièce musicale.

Puis, la chanson évoque un autre récit biblique: “Elle a cassé ton trône et a coupé tes cheveux” On reconnaît ici l’histoire de Samson, l’homme fort presque invincible qui a été vaincu par Dalila. Elle l’a seduit pour trouver son secret : si on lui coupe lews cheveux, il perdra sa force. Elle lui coupe les cheveux et appelle les les Philistins pour qu’ils l’attrapent et le tuent.

Le prochain couplet tire une conclusión des deux histoires précedéntes:” l’amour n’est pas un défilé de la victoire. Il est froid et cassé”. Cohen fait aussi un lien avec sa vie:” j’ai été ici déjà. Lui aussi a connu l’amour qui brise.

La strophe suivante est une des strophes que je n’ai pas vu que cohen la chantait. La colombe est relationée avec l’Esprit Saint. En hébreu et grec, le mot pour esprit est le même que pour soufle . Cohen fait un lien entre le soufle des amoreux et celui de Dieu.

À la fin de la chanson semble parler à Dieu et lui dire qu’il a fait du mieux et qu’il ne pouvait que dire halléluja.